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On roule ensemble - Novembre 2011

Publié le par Patrice

Cette nouvelle rubrique (qui doit son nom à Eric E) a pour but de faciliter et d'encourager les sorties collectives du week-end. Il suffit à ceux qui souhaitent rouler en groupe de le manifester sous la forme d'un commentaire. Ce billet sera renouvelé à la fin de chaque mois.


Généralement le point de départ se situe à la place d'Espère le samedi à 13h 30 ou le dimanche matin à 9 h. Mais bien sûr tous les aménagements sont possibles. A vous de pédaler...

La saison VTT hiver 2012 est lancée...

Publié le par Marco

A force de vous lire, j’ai eu envie de vous raconter notre virée de samedi dernier ; pas vraiment un CR car je suis bien loin de nos « poètes » habituels mais un petit message amélioré pour annoncer que la saison VTT Hiver 2012 est bien lancée !

Nous voilà donc samedi après-midi pour ce qui s’annonce être la première sortie VTT en groupe. Le temps est idéal, la température à souhait, les machines sont prêtes et les pilotes motivés !

Nous nous retrouvâmes sur la place de Mercuès à 13H45 et 14H pour Fred que l’on doit attendre (c’est bien là le seul endroit où on va l’attendre ! En Rando = c’est LUI qui nous attend), au RDV Gaël et les commentaires de certains (« toujours là ? » ou « encore vivant ? » ou mieux « l’amour t’as rendu solitaire pour qu’on te vois plus? ») en habit hivernal (il a la crève), Yvon frais comme un gardon, Gégé en manches courtes (ça va saigner), Hulk qui ne s’est pas remis de son écographie (ne me demandais pas si’il a choisi le prénom car c’est pas de sa descendance qu’il est question mais de son épaule) et moi-même.

Mercu-s-20111022-00330

 

L’endroit du RDV annonce une sortie Gaëlesque  car en partant de ses terres on s’attend à une belle rando !

Pourtant le départ est gentil et nous sommes même surpris d’entendre « prend à gauche, on va démarrer cool », mais qui a dit ça ?! C’est Gaël ! Est-ce une ruse ? A-t-il changé à ce point ? NON, 1Km plus loin il nous annonce la couleur (ou plutôt le dénivelé) : « on va commencer avec la Directissime » , OK = c’est bien lui ! On est tous rassuré et content d’aller se risquer sur la pente abrupte (le Tétiste est joueur), seul Gégé ne l’a pas encore testé et le groupe s’amuse à lui mettre (un peu) la pression.  Nous montons sur les hauteurs de Mercuès récupérer le début de « L’Ammonite » avant de couper à gauche tout droit (Commentaires pour ceux qui ne connaissent pas La Directissime : à gauche = c’est la direction, tout droit = c’est qu’on ne peut pas faire autrement tellement que c’est pentu) ; Gaël et Yvon se lancent avant de s’arrêter pour motiver Gégé, avec Fredo on passe. C’est sur que ça descend raide ! On est le cul sur le pneu arrière, les freins à limite mais on a plus d’adhérence ! Donc en glisse en évitant d’avoir à mettre le pied au sol. Arrivés en bas, on se retourne pour voir où ça en est et déjà Yvon arrive et bute (stoppe, trébuche) comme nous sur le muret à passer ; Gaël en maître des lieux lui passe. Arrive Pascal qui souffre déjà de son épaule  mais n’en dis pas plus. Et arrive Gégé qui a suivi mais doit finir à coté de sa monture. Les commentaires sont déjà là « ça descend dur ! », « T’es un fou Gaël ! » ou « gros malade »… Les analyses tombent également : « c’est au moins à 18% » « ça se monte pas, c’est sur ! »

 On repart en salivant déjà sur la suite ; fond de vallée et on tourne rapidement à droite pour remonter vers St Henri à travers un bois et une piste peu marquée. ça monte dur et Gaël nous a prévenu « qu’ on poussera un peu à la fin mais c’est pour voir une source abandonnée » qu’il a baptisé « la source de Sarrut » ; Fred part en éclaireur devant et nous suivons autant que possible en l’appelant pour qu’il nous attende : « Enculé !! ». Arrêt à la source et arrêt pipi (le deuxième étant surement lié au premier). On repart, et on re-pousse mais c’est bientôt la fin.

On arrive sur St Henri, on traverse la route pour prendre une descente sur  à 2 niveaux : à gauche c’est « marches et gros cailloux », à droite plus cool. On se sépare : Gégé et Pascal partent à droite (on commence à se dire que c’est pas du bluff pour qu’Hulk ne nous suive pas) et dans l’ordre Gaël, Yvon, Fredo et moi nous élançons sur une piste abîmée juste ce qu’il faut pour qu’en bas on soit content de nous (le tétiste est fier aussi).

Puis il y a eu cette fameuse remontée usante en fond de combe, où d'ailleurs j’ai pété ma chaine que Gaël m’a réparé en moins de 5min , en haut nous avons traversé puis longé la Vieille Route de Paris pour enquiller  à fond le sommet d'une colline tantôt sur le chemin ,tantôt sur le muret avant de plonger dans la caillasse jusque dans la vallée de Valroufié ; c’est à ce moment que le cerveau d’Hulk s’est débranché pour ne pas le gêner pendant la descente et lui permettre de passer devant Yvon !

On repart sur la route pour rejoindre la prochaine difficulté de la journée « La côte du Château du Roussillon », ça donne envie de visiter !  mais avant de visiter il faudra monter ! La pente est dure mais la piste est propre, chacun s’y retrouve : Fred est parti comme une fusée (E….é !!) Yvon et Gaël à sa poursuite, Gégé stoppe en bas pour se soulager avant d’attaquer, je double Pascal pour rattraper le groupe de poursuivant. Pause « barre chocolatée » et autres accessoires de récupération et nous rattrapons St Pierre Lafeuille.

Et c’est là que je comprends que je ne suis qu’un simple « Vététiste » car dés que nos pneus ont touché le bitume de la D820 (anciennement N20) les rapports fusent, les plateaux tombent et le compteur s’emballe ! Le groupe de furieux se lance à fond et je suis vite relégué dans le gruppetto (en fait je suis tout seul), j’essai de tout donner mais rien n’y fait : je ne suis pas encore un routard ! Tant pis, je les rejoindrais plus tard.

La prochaine descente est « la Chrysler » justement nommée à cause d’une épave de voiture de la même marque que le nom de la descente (c’est étrange, non ?) ; ne pas confondre avec la descente de «La Dauphine »  qui apparemment est plus loin… et c’est parti pour une SUPER descente rapide et technique et qui finit dur. On s’en met plein les yeux ! Les bras et les jambes ne sont pas épargnés car nous voulons tous arriver en bas le premier ! Yvon, Gaël et Pascal sont lancés comme des frelons, Fred est à la colle mais Gaël lui lâche une peau de banane  en lui disant « fais gaffe tu vas tomber ! »…. Il ne tombera pas mais le doute est là et une erreur le stoppe dans son élan ; je reviens juste de mon gruppetto pour recoller et finir avec lui. Gégé finira tout sur le vélo (plus ça va , mieux ça va). En bas, on est content comme des gamins, et chacun y va de son commentaire : Gégé nous lance « comment vous faîtes les gars pour arriver à tout descendre sans vous coincer une roubignolle ? » et je m’entends encore lui répondre « c’est parce dès qu’on voit des descentes comme ça, les boules c’est plus en bas qu’on les a, mais en haut ! ». Mais au fait, « elle était où la Chrysler ? »… c’est vrai qu’à rouler comme des fous on en oublie de regarder le paysage !

On rejoint Maxou et on remonte pour aller chercher une nouvelle descente sur Calamane. Au menu : ça descend toujours aussi fort, y a du caillou, c’est limite… merci Gaël ! On arrive tous sain et sauf, toujours aussi content. Mais on comprend vite que pour rentrer chez nous il va falloir encore monter une fois. Et là Hulk décide de jeter l’éponge, il est rincé, a mal à son épaule, en peut plus…. On sait qu’il a du mental et Gaël a les mots pour le motiver « tu l’ouvres moins maintenant ! », c’est vrai qu’ils aiment bien se chamailler ces 2 là ! Mais ça marche plutôt bien car il décide de nous suivre ; je reste avec lui sur le faux plat pour lui tenir compagnie avant de le laisser monter à son rythme la dernière bosse. Arrivé en haut, on le croit fini (vu sa tête) mais non, il en profite pour allumer son pote Gaël et la bonne humeur l’emporte sur la fatigue.

On rejoint le Mas Delleu avec petit passage derrière le Tennis pour rejoindre Bayonnet et attaquer la dernière descente sur la zone d’Espère rapide et technique. Je la connais bien et je décide de me caler cette fois en tête juste derrière Gaël et c’est parti : à fond jusqu’en bas !

Retour sur Mercuès et arrêt binouze chez Yvon avec débriefing de la journée et grosse rigolade : l’esprit du cyclo !

On finira avec un 31Km (à peu prés) et 980m de dénivelé (et oui c’est précis !) 6 bosses et surtout TOUS HEUREUX de notre balade !

 

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Les 10 commandements du cyclo pour finir (péniblement) un marathon

Publié le par Patrice

 

Commandement 1 : Des rêves tu auras…

Quand j’ai débuté le vélo, je rêvais d’escalader les cols qui ont fait la légende du tour de France ou de participer aux grandes cyclosportives montagnardes. Pour la course à pied, le rêve fait 42.195 kms…

 

Commandement 2 : A courir tu apprendras…

Le 1er novembre 2010, après dix ans d’abstinence, je décide de rechausser les baskets. Les premières sorties sont terribles, des muscles nouveaux semblent apparaître. Puis petit à petit, les courbatures durent moins longtemps et la durée des sorties s’allongent. Je m’aligne sur 10 kms du côté de Cazals, de Blagnac et goûte aux joies du semi à Montauban. Je me promets de tenter le marathon en 2012 pour ma 40ème année, les événements m’amèneront à devancer l’appel…

 

Commandement 3 : La pédale douce tu mettras…

Pour réduire ma pratique cycliste, j’ai trouvé un moyen imparable : une relation non consentie avec un véhicule automobile (la justice new-yorkaise parlerait plutôt de « relation précipitée »). Sortez couvert, portez un casque. Pendant ma convalescence, l’idée du marathon germe dans mon esprit, le concept de « marathon thérapeutique »…

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Commandement 4 : Méthodiquement tu te prépareras…

Alors qu’en vélo, ma préparation se limitait à une accumulation de bornes quasi pathologique, pour le marathon on suit un plan d’entraînement. Pour l’élaborer, je me suis nourri des saintes écritures, j’ai tout lu Bruno Heubi, le grand prêtre de la préparation physique. Puis pendant près de trois mois, je me suis imposé 3 sorties par semaines, ce qui est un minimum pour ce type de préparation (mais mon corps de néo-capiste avait du mal à en supporter plus).

 

Commandement 5 : Un pèlerinage, tu t’imposeras…

Et quel pèlerinage, une virée dans la ville rose de ma jeunesse. Un départ du stadium où dans mon ancienne vie de footeux j’allais encourager les violets, un coucou à St Sernin où j’allais au lycée, une arrivée au capitole, tout un programme… Et puis, il y a Toulouse mais aussi les Toulousains et leurs chaleureux encouragements tout au long du parcours…

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Commandement 6 : Aux exploits du XV de France, tu renonceras…

Quelle idée saugrenue de se trouver un jour de finale de coupe du monde dans la capitale de l’Ovalie et de courir… Heureusement, certains concurrents courent avec la radio et nous sommes informés en temps réel de l’évolution du score.

 

Commandement 7 : D’humilité, tu feras preuve…

A oui, en course à pied, on a des objectifs de temps. Mon premier objectif était d’atteindre l’arrivée. Mais pour « faire mon marathonien » je m’étais dit que 4h 13mn soit 10 à l’heure, ce serait pas mal. Mais pas de meneurs d’allure à Toulouse dans cette tranche horaire, donc je décide de partir avec les meneurs d’allure 4 heures et de les accompagner le plus longtemps possible et que mon progressif déclin me conduirait autour de mon objectif initial.

De la théorie à la réalité, il y a parfois un monde… Je suis les meneurs d’allure pendant 5 kms et dans ma grande naïveté, je décide de leur fausser compagnie (eh oui avec ma grande expérience en « marathonie », je peux aisément me permettre de voler de mes propres ailes !). Le premier semi se fait dans une espèce d’euphorie, je passe en 1h55 en toute confiance (j’avais fait 1h42 lors du seul semi de ma vie, donc je me disais que j’étais encore assez prudent). Et puis, après le semi, sur le chemin du retour, un classique toulousain s’invite à la fête, le vent d’autan nous fait face… Mon rythme se ralentit et au km 33, les meneurs d’allure me dépassent et me clouent sur place (le km 33, parfait pour une crucifiction). La suite est un chemin de croix, le second semi est bouclé en 2h 27, c’est ce qui s’appelle « l’extra-méga positive split ».

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Commandement 8 : Le mur, tu éviteras…

J’avais lu ici ou là, cette histoire de mur du km 35, j’avais même déniché des explications scientifiques. Mais j’avoue que j’étais un peu circonspect, ça me rappelait les histoires de dahut en colonie de vacances. Bon aujourd’hui, j’ai fait connaissance avec lui autour du fameux km 35. Je l’ai même pris en pleine face et les parpaings étaient épais… Les jambes ont commencé à peser des tonnes et j’allais aussi vite en courant que les concurrents qui marchaient…

 

Commandement 9 : Ton apport énergétique, tu surveilleras…

En vélo, sur les longues distances, mon talon d’Achille a toujours été mon estomac et mon potentiel « vomitologique ». Je pensais qu’en course à pied, la durée des épreuves étant plus courtes, la digestion serait moins problématique. Il n’en fut rien et durant la dernière heure, il me fut impossible d’avaler quelque chose et boire devint aussi difficile. Seul un arrêt au stand Coca-Cola, lors des ravitaillements du km 35 et du km 40, fit office d’eau bénite. Mais aussi peu d’essence dans le réservoir, pas de risque d’excès de vitesse…

 

Commandement 10 : Quand tu auras fini,  recommencer tu désireras…

Quand au bout de 4h22 d’effort je passe la ligne, j’avoue ne pas avoir de suite eu envie de remettre le couvert. Pendant la demi-heure qui suivit, je n’étais pas tout à fait étanche, mais rapidement la douleur physique laissa place à la joie d’avoir passé la ligne. Ce marathon reste une formidable expérience et une belle aventure intérieure. En 2012, je passerai du Capitole à la capitale en essayant de faire mieux et de vivre autant d’émotions…

Les licences 2011-2012 sont arrivées...

Publié le par Patrice

Pour ceux qui m'avaient donné les dossiers complets, j'ai reçu ce matin au courrier les licences pour la nouvelle saison.

Ceux qui en ont besoin peuvent venir les chercher à la maison sinon je les distribuerai au plus tard lors de l'assemblée générale.

 

Pour les autres, pensez à me faire parvenir rapidement vos documents afin que je puisse commander vos licences.

Sortie à Caylus le CR de Gégé

Publié le par Gégé

Ben, bon , moi je veux bien faire un CR , mais comme j'écris encore moins vite que je pédale, faut pas s'étonner des délais ...

 
        La Place de la Halle à Caylus, était le lieu de rendez-vous fixé pour la dernière sortie Club de l'année. Pour la clôture de la saison, pas moins de 13 verts - dont 2 vertes - ont répondu présent ; il est loin le temps où l'on était 4 verts, perdus dans le brouillard des cimes ariègeoises... !
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        Difficile de s'y retrouver sur cette place envahie par une centaine de motos , une "concentration" qu'ils disent nos amis les motards. Les cyclos eux aussi sont concentrés : ils savent les difficultés qui les attendent ! Avec Didier, mon copilote, nous avons dû chercher une place ailleurs, car arrivés trop tard, mais comme on dit chez nous : "vieux motard que j'aimais" ( ou quelque chose d'approchant ).
        Une fois tout ce petit monde équipé, la troupe s'ébranle lentement dans les rues de ce très beau village.
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Ne sachant jamais les dangers qui nous guettent dans ces contrées inconnues, nous avons préféré laisser partir nos deux féminines à l'avant, en éclaireuses .... on appelle ça "la galanterie"
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! Un petit vent du nord, plutôt frisquet, et parfois même accompagné de crachin, s'est déjà invité dans cette partie de manivelles, et il ne nous quittera quasiment pas de la journée. Cette année, excepté au Ventoux, on n'a pas eu de chance avec la météo.
        D'emblé, on se goure de route! Heureusement le circuit, très compliqué, concocté par Le Patron, est bien en place dans le GPS de Francis. GPS qui a d'ailleurs la particularité de nous indiquer la route à suivre....après que nous nous soyons trompés! Vous dire par où nous sommes montés, puis descendus, puis remontés...
serait fastidieux car nous n'avons fait que ça!
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Nous avons souvent emprunté de petites routes, avec de ce fait, peu de circulation, à l'exception des chasseurs, ils sont pressés donc méfiance. Ils sont plus nombreux que les gibiers qui peuplent la région! Mais bon, on dit bien aussi qu'il y a plus de glands que de palombes...

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        Méfiance aussi dans les descentes, heureusement Eric nous prévenait, quand il pouvait, des zones à risque. Mon coup de gueule du jour : quelle est cette nouvelle méthode qui consiste à entretenir les routes avec des emplâtres de goudron, en y balançant des quantités de gravillon dessus et laissant les voitures faire le travail ? Le balayage est fait quinze jours plus tard (en principe), c'est un énorme gaspi et un danger permanent, surtout pour les deux-roues! Gilbert en a fait les frais récemment, et j'apprends qu'aujourd'hui, tout près de chez nous, un motard, pour les mêmes raisons y a perdu la vie. Et à côté on nous met des radars... pour plus de sécurité..... 
        Notre périple nous a conduit du Tarn et Garonne au Tarn en passant par l'Aveyron, pour découvrir de superbes paysages; on a ainsi traversé ou suivi successivement les vallées de la Bonnette, de l'Aveyron ,du Viaur avec en surplomb les impressionnants châteaux de Najac et de Laguépie, tous deux du XII° siècle.
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        Eric, notre boss convalescent, reconverti en assistance urgentiste, porteur d'eau et de sandwiches, nous a dégoté un petit bistrot à Laguépie pour casser la croûte, où les filles n'ont pas tardé à nous rejoindre. Le cabaretier, non dépourvu d'humour, a bien voulu nous accepter en terrasse, en nous demandant de bien vouloir respecter le silence pour cause de deuil à l'intérieur... "En effet", nous dit-il, " j'ai des Anglais qui consomment au bar....!"  Le ton était donné, Hulk pouvait donner de la voix, et la bonne humeur qui régnait attira un sujet de sa Gracieuse Majesté près de notre table : sympa et bon perdant qu'il était , cependant on a pu en déduire que maintenant les Anglais se sentaient un peu Gallois ! (et nous on est toujours ...Gaulois !)
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        L'après-midi, en guise de digestif, nous attaquons en ordre étiré, la longue et non moins dure côte des antennes de Vaours, qui culmine a plus de 500 m d'altitude, avec une vue imprenable sur la forêt de Grésigne et le pays alentour à perte de vue. Le vent et le froid pénétrant nous empêchant d'en profiter très longtemps. Nous repartons par les longs faux-plats puis la descente sur St Antonin Noble Val où, d'un commun accord, nous décidons de shunter les dernières bosses pour rentrer à Caylus en suivant tout bonnement La Bonnette.
        Accueillis par les filles déjà arrivées, nous clôturons cette magnifique journée par un pot bien mérité, avant de regagner nos bases, jambes lourdes mais cœur léger.
 
        Bilan  :  115 kms de bonne humeur, avec 1900 m de D+ ;et plus de 80 kms très pentus également pour Annie et Sylviane ; et merci encore à Eric pour les circuits ainsi que pour son dévouement.

Assemblée générale le 19 novembre 2011

Publié le par Patrice

L'assemblée générale du club aura lieu le 19.11.2011 à 18h à la salle des fêtes d'Espère.

 

L'ordre du jour: renouvellement du bureau, rapport moral et financier, projets de sortie pour 2012, dépliant publicitaire...

 

Le repas sera pris à partir de 20h au restaurant "Le Bienvenu" à Crayssac. Pensez à vous inscrire avant le 8 novembre.

 

 

 

Photos de la sortie à Caylus

Publié le par Patrice

En prélude à un éventuel compte-rendu, voici un lien vers l'album de photos

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Merci Patron...

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